Last day in Tunisia
Exploration of woMAN
Dernier jour en Tunisie -
Exploration de la fhomme
Today I notice several
houses have walls around them which, in such poverty seems elaborate and labor intensive,
so I ask Pierre why they exist, and he tells me, "To keep the women in, of course. Its
their cage." Of course! silly me.
We visit the medina and meet kids,
We get to see the customary
circumcision outfit. Boys are circumsized when they are 5 years old. Their fathers hold
the boys naked against their chest. Held 4 feet off the floor, the doctor performs the
operation. I can't fathom the trauma this must cause the male youth. Pinned naked in front
of several people, extreme pain inflicted on your genital region, all at an age old enough
to be self-aware and retain vivid memory. This seems a good argument for the seed
planting of Oedipus and the murder of the father.
We saw traditional marriage
attire too. The man wears a Jelaba, 1/2 green, 1/2 red. The guide told us the colors
represent the paths the wife (not the woman but the wife) can take. Green is for paradise
which she has as a good wife, and red is for fire (symbolic of hell), the symbol if you
are a bad wife. There is only one kind of husband, however.
For the married woman it
seems, it is never about being a good human being, but whether or not you are a good
wife.
My favorite was the front door. Poor families have doors made from Palm, and
the wealthy have doors made from Abricot trees. There are 3 separate knockers, each with a
different pitch. One for the man, one for the woman and one for the kids. If the husband
is not at home and a man knocks, the woman is forbidden to answer.
Pierre and I
keep hearing of a Swiss guy on a motorcycle, who is one day ahead of us. He is heading
into the desert, and we hope to catch him.
Tomorrow we cross into Algeria.
Mon corps subit les désagréments de l'accroissement de
microbes dans mes appports alimentaires. Comme la plupart des menus sont lourds en
viande, je passe souvent le dîner et à la place me gave de fruits pelés aux marchés. Tôt
ou tard, je suis suffisemment affamée et me laisse aller aux mélanges de viandes, but ça
nécessite un certain désespoir.
Aujourd'hui, j'ai remarqué que plusieurs maisons
avaient des murs autour, ce qui dans une telle pauvreté semble recherché et dispendieux,
alors je demande à Pierre le pourquoi de la chose et il me répond "Pour garder les femmes
à l'intérieuur, c'est leur cage". Bien sûr! Que je suis bête.
Nous visitons la
médina et rencontrons des gamins
Nous avons
l'occasion de voir l'habit traditionnel pour la circonsition. Les garçons sont circoncis
à l'âge de 5 ans. Le père tient son fils nu contre sa poitrine à 1 mètre du sol, et le
docteur opère. Je ne peux pas imaginer le trauma que cela peut causer au jeune mâle.
Coincé nu devant un groupe de gens, une douleur aigüe infligée aux parties génitales, tout
ça à un âge suffisemment avancé pour avoir conscience de soi et retenir un souvenir
vivace. Cela me semble une bonne raison pour la germination du complexe d'Oedipe et le
meurtre du père.
Nous découvrons aussi l'attirail tradionnel du mariage. L'homme
porte une djelaba, moitié verte, moitié rouge. La guide nous explique que les couleurs
représentent les chemins de la vie que la femme (entendez "la femme mariée") peut prendre.
Le vert est pour le paradis si elle a été une bonne épouse, et le rouge est pour le feu
(symbolique de l'enfer), le symbole de la mauvaise épouse. Il n'y a qu'une seule variété
de mari, cependant. Pour la femme mariée, la question n'est pas de savoir si vous êtes un
bon être humain, mais si vous êtes ou non une bonne épouse.
Mon truc préféré,
c'était la porte d'entrée. Les familles pauvres ont des portes en palmier, alors que les
riches ont des portes en bois d'abricotier. Il y a trois sortes de cogne-portes, chacun
avec un son différent: un pour les hommes, un pour les femmes, un pour les gamins. Si le
mari n'est pas à la maison et qu'un homme frappe, la femme ne doit pas
répondre.
Pierre et moi continuons à entendre parler d'un Suisse en moto qui nous
précède d'un jour. Il se dirige vers le désert et nous espèrons le rejoindre.
Demain
nous passons en Algérie.